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Un constat simple
La crise environnementale constitue aujourd’hui le plus grand défi jamais posé à l’humanité.
Les entreprises ont un rôle majeur à jouer autant par leurs impacts que par leur capacité à insuffler de nouveaux imaginaires.
Malheureusement, les réponses apportées sont loin d’être à la hauteur des enjeux et les projections des conditions de vie sur Terre ne cessent de se dégrader.
L'idée de rivaje est née
Nous avons créé rivaje pour accompagner les entreprises sur les enjeux de préservation du vivant.
Nous pensons que changer de posture (accepter que nous sommes des vivants parmi les vivants), regarder les écosystèmes non plus comme des “ressources” mais comme des alliés et faire de la robustesse et non plus de la performance une boussole pour les entreprises, sont essentiels pour relever ce défi.
Pour y contribuer, nous accompagnons les entreprises dans leur passage à l’action autour de 3 expertises :
▶︎ La sensibilisation aux enjeux du vivant pour comprendre le problème et donner l'envie d'agir.
▶︎ L’accompagnement biodiversité pour mesurer ses impacts & dépendances aux écosystèmes et construire sa feuille de route.
▶︎ L’accompagnement RSE pour définir sa stratégie, ses plans d’actions et répondre à la CSRD
"Le vivant, ce n’est pas une catégorie scientifique (l’ensemble des organismes), c’est un concept philosophique qui nomme notre relation à l’aventure de la vie sur Terre : c’est la communauté du monde à laquelle on appartient, c’est une vulnérabilité mutuelle, c’est une dimension de l’expérience humaine, et c’est une condition partagée, la condition vivante."
1
Penser le vivant, c'est observer la complexité de notre monde de manière systémique.
Nous définir en tant que vivants humains parmi d’autres vivants non humains nous invite à regarder, avec humilité, le maillage complexe des interdépendances qui rend notre monde habitable. C’est une invitation à sortir du prisme unique du déréglement climatique pour envisager la crise environnementale sous l’angle des conditions d’habitabilité de la terre.
2
S'appuyer sur le vivant, c'est adopter une approche positive et émotionnelle qui favorise le passage à l'action.
La crise environnementale est anxiogène et pose probablement le plus grand défi auquel l’humanité n’ait jamais été confrontée. Un changement à la hauteur des enjeux ne sera possible que grâce une mobilisation collective qui nous sort de l’inhibition créée par la peur. Le vivant, par sa capacité à mobiliser l’émerveillement en nous et à nous mettre en lien constitue un puissant moteur de l’action.
3
S’inspirer du vivant, c’est ouvrir un terrain de jeu propice à l’innovation
Avec ses 3,8 milliards d’années de R&D, la nature nous ouvre un laboratoire d’expériences exceptionnel. S’inspirer du vivant, c’est bénéficier d’une source infinie d’innovations : biomimétisme, entreprise régénérative, économie circulaire ou de la fonctionnalité…
Un rivage : def. n. masc : une étendue de terre qui borde une étendue d’eau.
Une symbolique puissante.
1. C’est la rencontre entre deux éléments essentiels à la vie, la terre et l’eau, comme la rencontre entre l’économie et l’écologie que nous souhaitons accompagner.
2. Le rivage trace une frontière, comme la frontière que posent les limites planétaires pour préserver un avenir désirable.
3. Les rivages font partie des écosystèmes les plus riches et les plus fragiles de la planète comme une invitation à accueillir et protéger la vie.
4. Rivage est l’anagramme de virage, comme le virage que nos sociétés doivent prendre pour faire le choix d’un futur écologique et juste.
5. rivaje suggère l’importance du “je” comme une proposition de s’impliquer de tout son être, avec sa tête, son coeur et son corps.
Nous nous engageons et coopérons avec les acteurs et actrices engagé.e.s dans la transition écologique et sociale pour accélérer la transformation de nos sociétés vers des modes de vie en accord avec les limites planétaires.
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